par Franck Confino et Delphine Gay
Réflexions à la suite d'un mail inopiné
par Franck Confino et Delphine Gay
Réflexions à la suite d'un mail inopiné
Pour ceux qui ont suivi la polémique de ces derniers jours sur blog-territorial, et mieux qu'une synthèse que nous pourrions faire nous même, voici deux sites qui, en guise de conclusion, rapportent tous les éléments objectifs du débat tout en mettant l'accent sur l'essentiel : pointblog.com, le blog des blogs et de l'expression des individus sur Internet et le blog de Fabrice Jobard, éditorialiste de la Lettre du Cadre territorial.
Dirigé par Christophe Ginisty et Gilles Klein, pointblog.com est "le blog des blogs". Consacré "au phénomène des blogs et de l'expression des individus sur Internet" depuis ses débuts en France, c'est aujourd'hui un média incontournable. "Destiné aux néophytes aussi bien qu'aux blogueurs avancés ou aux simples observateurs, il a pour but d'éclairer sur l'importance et l'ampleur de cette évolution essentielle de l'Internet d'aujourd'hui."
Directeur de la communication du Conseil général de l'Yonne, Fabrice Jobard est une "figure" de la communication territoriale dont, pour résumer le parcours, nous vous conseillons la lecture de notre portrait et de son blog.
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Merci pour cette publicité : nous n'en demandions pas tant ! Néanmoins, il serait courtois de publier ce droit de réponse, non pas dans les commentaires mais à la suite de votre billet. Vous préférez l'attaque au dialogue : c'est votre droit. Alors permettez-moi seulement d'expliquer à vos lecteurs la petite histoire... Je suis abonné à la newsletter de Monputeaux et ma boite mail a joué les capricieuses cet été en renvoyant des mails vides à tout le monde. A ce mail vide, M. Grebert me répond "oui ?"... ce à quoi, je lui explique mon bug en engageant poliment un tout premier dialogue ! Pour seule réponse : "Il y a des limites à tout, je vous réponds sur mon blog". Mais de quelles limites parlez-vous ? La limite de votre ouverture d'esprit ? Donnez au moins à vos lecteurs toutes les clefs...1 Faites-vous un travail de journaliste citoyen ou de militant borné ? Dans le premier cas, écrivez "Le Dircom quitte Puteaux... j'en parle 9 mois après". Sans l'anecdote dont je parle plus haut, quelle est la raison de publier aujourd'hui cette information qui date de novembre 2005 ? Delphine et moi n'avons pas à rougir de notre passage à Puteaux - et pour information, notre CV ne se résume pas à cette seule expérience ! En plus, vous savez pertinemment que le dossier MonPuteaux.com ne relevait pas des compétences du service Communication. Attaquez vous donc également aux anciens responsables du service des Espaces Verts pendant que vous y êtes, cela fera autant avancer le Schmilblick. Je me suis par ailleurs longuement exprimé sur mes fonctions de responsable de communication à Puteaux dans une interview à paraître prochainement… par des professionnels qui ont simplement pris la peine de me poser la question. Je ne manquerai pas de vous transmettre l'article. J'en profite pour saluer l'attitude très courtoise de Nadine Jeanne lorsqu'elle apprit notre départ il y a 9 mois. Désolé de vous dire que si vous êtes dans le même camp que l'élue du PS, vous ne jouez pas dans la même cour… Cordialement Franck Confino http://www.blog-territorial.com http://www.adverbia.fr PS : pour votre information, adverbia ne se résume pas à ses 2 co-directeurs. Ce sont avant tout cinq associés et un large réseau de consultants. PS2 : au fait, merci de me désabonner de la newsletter ;-) |
1 Voici donc en rouge les fameuses « explications embrouillées sur le pourquoi du comment de [n]otre situation ancienne et avenir » (!) qui ont été censurées.
2 Aucune « manipulation » n’est en revanche possible sur la plateforme que nous utilisons : Over-Blog a en effet « désactivé » cette fonction pour qu'aucune contestation ne soit possible. Le modérateur ne peut qu’accepter de publier un commentaire ou le supprimer. Blog-territorial adhère en outre à la "nethique".
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par Gildas Lecoq
Non ce n'est pas un appel au meurtre que je lance, rassurez-vous ! Ni même le titre d'un roman policier ! C'est tout simplement un constat. Le constat qu'il devient plus que nécessaire d'affirmer nos ambitions, nos méthodes, de dégeler nos entourages, si nous voulons encore et toujours atteindre nos objectifs.
Vous connaissez tous Pectos, héros de la mythologie grecque ? Vous connaissez son Odyssée ? Au service de Zeus, maître des Dieux, Pectos par peur de la défaite refusa le combat ce qui le conduisit à terminer figé dans la mélasse. Cette histoire ne vous dit rien ?
Vous avez raison, Pectos n'existe pas. Jean Cocteau avait raison en écrivant :
« J'ai toujours préféré la mythologie à l'histoire parce que l'histoire est faite de vérités qui deviennent à la longue des mensonges et que la mythologie est faite de mensonges qui deviennent à la longue des vérités ».
En effet, si Pectos n'existe pas dans la mythologie il est bel et bien présent dans notre vie quotidienne. Chaque jour nous (vous ?) croisons des descendants de Pectos.
Facilement reconnaissables, ils interdisent tout changement, toutes audaces. La peur de perdre les pousse à ne rien faire. Tout est gelé par ces Pectos d'aujourd'hui.
Le syndrome de Pectos
Combien sont ceux qui ont entendu ou lu que les communicants territoriaux n'étaient pas des professionnels ? A juste titre certainement, il y a quelques années. Mais aujourd'hui ?
Nos métiers sont passionnants et utiles et nous devons affirmer qu'ils sont efficaces s'ils ne sont pas bridés par le manque d'audace, d'idées ou par la peur de décevoir. Communiquer ce n'est pas seulement faire une affiche en couleur et annoncer la date de la prochaine animation de quartier. Communiquer ce n'est pas utiliser une méthode stricte et usée. Communiquer, pour un grand nombre d'entre nous, c'est entendre nos administrés, les comprendre et les toucher.
Trop longtemps poussiéreuse, la communication territoriale a certainement participé à donner cette image que les gens ont de la vie politique, des hommes politiques. Pourtant le développement de la communication territoriale c'est la nouvelle proximité ! Cette proximité tant recherchée pour renforcer le lien avec nos concitoyens. Nous devons dès lors aller jusqu'au bout de nos stratégies et arrêter d'écouter ces Pectos qui au bout du compte desservent la bonne transmission des messages. Nos concitoyens ont changé, arrêtons de leur montrer l'image caricaturale qu'ils ont de nous.
Les prochains mois vont être pour nous, responsables de la communication, des mois d'affrontement quotidien avec ces descendants d'un autre temps. Imaginez un peu le nombre d'interdits qui se posent face à nous ! Communiquer c'est avant tout mettre à la disposition de quelqu'un un savoir ou une information, qui peut le faire sereinement sans être libre ?
Le syndrome de Pectos est hélas contagieux. Beaucoup plus contagieux que « la pensée unique » car c'est sans doute l'absence de pensée tout court qui en résulte ! Dans le monde d'aujourd'hui utiliser les méthodes d'hier pour communiquer c'est affirmer haut et fort que l'on souhaite perdre. Tuer ces Pectos, c'est finalement défendre nos métiers mais au-delà, répondre à notre mission, celle de servir le public.
* Le mot Pectos signifie "gelée" en grec
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par Thierry Teulé
Le Web 2.0, nouvelle tendance de l’Internet depuis 2004, consiste – pour l’essentiel – à laisser aux internautes le soin de produire des contenus et de partager les connaissances.
Au sein de la blogosphère, ce "Web nouveau" suscite le débat. Tandis que les sceptiques y voient "une vaste escroquerie marketing ré-exploitant des technologies vieilles de cinq ans", les plus enthousiastes parlent d'une "révolution qui place l'utilisateur au cœur du web".
L’exemple type du Web 2.0 est le blog : préconstruit pour l’internaute, c’est ce dernier qui l’anime et produit un contenu qui attire et fédère des personnes partageant les mêmes centres d’intérêt.
Parallèlement au blog, le support phare du Web 2.0 est le moteur de recherche social ou communautaire :
l’internaute envoie sa requête et, au lieu de robots – comme sur Google –, ce sont d’autres internautes qui, grâce à leurs connaissances, compétences et expériences, lui répondent.
Il existe également des services en ligne de gestion de favoris (tags) ou de gestion de flux d’actualités (fils RSS) : en créant une page sur un site dédié, chacun peut partager ses sites préférés avec la communauté Internet.
Pour permettre au lecteur de mieux comprendre le processus, voici quelques adresses de sites découlant de ces principes :
www.netvibes.com
pages préconstruites d’actualités en RSSwww.blogmarks.com
pages préconstruites de favorishttp://iq.lycos.fr
moteur de recherche socialhttp://fr.search.yahoo.com/myweb
annuaire Web personnel
Quel est l’intérêt de ce Web social ?
pour l’internaute, c’est avant tout la satisfaction – quelque peu narcissique – d’être vu et en contact quasi-continu avec d’autres internautes1,
pour la plate-forme de services Web (blogs, fils RSS...), il y a là une source exponentielle d’internautes captifs et de "profils marketing" à moindre coûts,
pour le "professionnel", le Web 2.0 permet de s’auto-promouvoir (en caricaturant, il s’agit pour lui de promouvoir son Web 1 grâce au Web 2.0).
Quels usages pour les collectivités locales ?
Pour les collectivités, le Web 2.0 participe à la construction des "e-territoires" de demain.
En effet, on ne cesse de parler de construction de "territoires numériques", de lutte contre les "fractures numériques" et de mise en place d’outils de "e-démocratie". Dans ce contexte, la mise à disposition de blogs, forums, wiki, mais aussi – comme pour les entreprises – de systèmes de fidélisation de l’administré par des techniques marketing comme l’"e-crm" ne peuvent que venir compléter, voire accélérer, la démarche… sans oublier l’usage publicitaire du Web social par la collectivité pour ses propres besoins.
1 Il existe des théories sociologiques sur ce nouveau Web (cette "nouvelle nouvelle économie" comme la nomme Joël de Rosnay), notamment sur le type de relations numériques que l’on peut développer avec un blog : la théorie du lien para-social explique le besoin de relations numériques des internautes, tandis que la théorie du nombre de Dunbar permet d’estimer à plus de 150 le nombre de "relations sociales" créées à partir d’un blog.
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par Gildas Lecoq
On oppose trop souvent communication et informa-
tion sous le prétexte erroné qu'informer ne serait
que transmettre des données, des faits neutres et objectifs alors que la communication n'aurait pour seule ambition que de rendre partiale une idée à des fins mercantiles. Au-delà de cette pensée simpliste, le lien qui existe entre la communication et l'informa-
tion est beaucoup plus étroit et nécessaire pour le bon traitement de ces deux fonctions.
d'investigation.
Mais il convient | de se réjouir, |
Le communicant d'aujourd'hui (et de demain) doit être un véritable « informateur » et non un VRP de l'information ! Un « informateur » qui doit savoir instaurer une relation de confiance entre lui et le journaliste, s'il souhaite que son histoire touche le plus grand nombre. L'erreur trop souvent faite est de penser que cette « histoire » doit intéresser avant tout le journaliste. C'est faux ! C'est parce que l'histoire intéressera le plus grand nombre que le journa-
liste sera intéressé. Le communicant doit être un « infor-
mateur » attentif, mieux, un « vulgarisateur », dont l'ambition première sera de traduire les spécificités d'un projet, d'une action et de les rendre accessibles à tous. Georges de Caunes, l'un des fondateurs du journal télé-
visé en France, récemment disparu, disait souvent « un journaliste doit être curieux ! ». Le communicant à son niveau également doit faire preuve de curiosité, d'une curiosité contagieuse même.
Si la communication est souvent considérée comme le mal du siècle (on confond trop souvent communiquer et dialo-
guer !), il y a cependant surtout des motifs de se réjouir.
Il y a quelques années encore ces métiers n'étaient pas reconnus, considérés comme des armes commerciales pervertissant l'honnêteté intellectuelle ou pire, et il faut savoir le reconnaître, mal utilisés. Aujourd'hui, les métiers de la communication sont présents, reconnus et efficaces.
Le journaliste, quant à lui, souvent considéré comme le héraut de la liberté d'expres-
sion, s'est toujours drapé dans des valeurs d'indépen-
dance et de vérité. Toujours, jusqu'à aujourd'hui où son rôle tend à être remis en cause. Les journalistes sont encore trop souvent les victimes de « la défense de la liberté de l'information, du commentaire et de la critique » - Charte des devoirs et des droits des journalistes dite "Charte de Munich" - il est bien évidemment plus que rare qu'un directeur de la communication ou un créatif soit enlevé lors d'un conflit armé ou politique. Mais les journalistes détiennent-ils encore le pouvoir dont on les crédite ?
« L'évolution technologique, le développement des nou-
veaux médias, les difficultés économiques de la presse quotidienne, la généralisation des outils informatiques et son impact sur la collecte des informations ont exercé une influence sur le métier de journaliste. La crise profession-
nelle s'accompagne aussi d'une crise déontologique » précisait déjà en 1994, Jean-Marie Charon dans un article publié dans Communication et langa-
ges. Malgré cela, le journaliste doit savoir garder le recul nécessaire au bon traitement de l'infor-
mation. Au même titre que le communicant, il est lui aussi un artiste ou un technicien qui travaille une matière première : les faits. Il doit se rappeler pourquoi il informe : pour fournir aux autres (et à soi-même) les moyens de comprendre le monde. Comme pour le commu-
nicant, le métier de journaliste repose sur cette notion de vérité. Théophraste Renaudot, père de la presse écrite en France décrivait « la rétention de l'information » comme « une forme de constipation du savoir » : le jour-
naliste doit veiller au bon traitement et à la mise en forme de cette information, une condition sine qua non pour associer faire savoir et surtout faire comprendre. Loin d'être un ennemi, le communicant doit pouvoir contribuer à l'épauler dans cette mission.
Pour ce faire, le communicant doit savoir lui aussi informer. Une bonne prestation devant les médias n'amène pas forcément un bon résultat, en revanche une mauvaise prestation est la certitude d'un échec. Les grandes entreprises l'ont aujourd'hui bien compris et nombreuses sont celles qui fonctionnent comme de véritables agences de presse. Oui le communicant doit savoir informer et travailler sans a priori avec les journalistes. Pourquoi faut-il toujours être suspicieux quand un communiqué de presse est repris in extenso par un journaliste, quand au même moment, sur internet, les pires rumeurs prennent la place des scoops ! Le rôle du journaliste s'est déplacé de la vérification des faits à la vérification de la source.
Nombreux sont aujourd'hui les journalistes qui conseil-
lent les hommes politiques, entrepreneurs et autres artistes et personne ne trouve rien à y redire ! Si le communicant doit savoir informer et maîtriser l'en-
semble des outils qui lui permettent de faire passer son message, le journaliste est aujourd'hui entré dans l'ère de la communication. La con-
currence est telle qu'un titre de presse, une chaîne de télévision, une radio doit ménager l'effet d'annonce. Cela n'est pas choquant, la Une, l'accroche, le chapô sont autant d'artifices de communication au service de l'infor-
mation. Les lecteurs, les publics ont changé. Ils sont nés alors que les nouveaux médias existaient déjà. Le décryp-
tage de l'information est aujourd'hui un sport national, bientôt, qui sait, une matière enseignée à l'école. Le lec-
teur veut des faits et se faire sa propre opinion. Le chal-
lenge pour le journaliste est de lui donner tous ces faits,
la mission du communiquant lui donner accès aux informa-
tions. Ne nous leurrons pas : les risques existent et les journalistes doivent s'imposer des règles pour ne pas for-
cément répondre aux attentes parfois sordides des lec-
teurs. Mais le challenge est passionnant. Avec le nombre de fausses informations qui circulent dans ces nouveaux médias, le devoir de vérité des journalistes et des commu-
nicants n'en sera que beaucoup plus passionnant !
Bien communiquer pour mieux informer. Un objectif qui doit casser les idées trop souvent arrêtées par
les « professionnels de la profession » et répondre
en premier lieu aux attentes du public.
Si le constat semble amer, la mission qui s'offre aux générations actuelles est merveilleuse : défendre les métiers de la communication et ainsi transmettre un savoir et une information de qualité.
par Patrick Lamarque
Ces temps-ci, la communication locale enregistre plusieurs déplacements tectoniques, silencieux
mais profonds, qui sont appelés à changer notre relation à l’administration de proximité.
Il faut bien le constater, notre relation au territoire évolue rapidement. Notre enracinement n’est plus in-
sulaire mais archipélagique : nous ne sommes plus les "p’tits gars de Ménilmuche"
ni les terreurs du 9-3.
puisque nous vo- Du coup, la | tons là où notion de |
Dans le même mouvement, les politiques de développement qui mobilisaient les énergies jusqu’au début des années 2000 en s’ap-
puyant sur la création de stratégies d’image ambitieuses, ont laissé la place à des approches identitaires plus régressives, autocentrées
voire passéistes.
Pourtant, l’époque laisse émerger des opportunités aptes à porter des visions renouvelées des territoires. La nouvelle ère de l’Internet, notamment, caractérisée par la générali-
sation rapide des équipements (plus de 50% des ménages sont désormais dotés d’ordinateurs connectés à la toile)
et l’évolution parallèle de l’offre des collectivités locales.
Aux sites-plaquettes succèdent des formules plus inter-
actives qui facilitent la vie (avec les télé-procédures)
et la relation d’échange entre élus et habitants (les blogs,
du moins quand ces derniers sont bien conçus et régu-
lièrement mis à jour).
Au-delà, ces technologies vont nous permettre d'accom-
pagner une profonde ré-orientation des structures de nos collectivités locales, à l’image de celle que les banques
ont entreprise à la fin des années soixante-dix et dans
les années quatre-vingt. Grâce aux nouvelles technolo-
gies, plus simples d’emploi, plus modulables et animées
de moteurs de recherche performants, nous allons être
à même de traiter en front-office 80 à 90% des demandes des habitants et, par surcroît, répondre à
de nouveaux besoins de conseil et d’assistance, si essen-
tiels dans l’époque incertaine que nous vivons. Parallèle-
ment, le back-office pourra se consacrer à l’essentiel,
qui va de l’élaboration des politiques au soutien des équipes de contacts.
Mieux même, les collectivités locales pourront, à partir
de ces nouveaux dispositifs, multiplier les démarches proactives destinées à solliciter directement certaines catégories d’habitants, concernées par telle ou telle action, au lieu, comme par le passé, "d’attendre le chaland". Certaines municipalités s’engagent déjà dans cette voie, dont on peut être assuré qu’elle
sera prometteuse.
Ainsi, le fonctionnaire local perdra sa culpabilité d’avoir à mal traiter les habitants quand le commerçant cajole ses clients. Et le citoyen cessera d’être un client honteux chaque fois qu’il exigera un service de son administration.
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Depuis 2011, le blog a déménagé et a continué sa vie ici :
internautes sont égarés ici et trouveront leur bonheur par là !
Avril 2006 - Novembre 2010
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