Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 18:25
L’association Villes Internet, fondée en 1998 par Florence Durand-Tornare, s’invite à l’Espace événement du Cabaret Sauvage (Paris), où aura lieu, le 15 décembre prochain, la 11ème remise des fameux Labels. Pour s'inscrire à la journée, on se donne cette année rdv sur un réseau social.


Label Villes


Le Label Ville Internet organisé en partenariat avec la Caisse des Dépôts, récompense l’engagement des élus et le travail de l’équipe municipale pour le développement d’une politique internet locale. florence-Durand-Tornare.png Services en ligne, information, accès à Internet, expression et interactivité des administrés, formation, sont quelques unes des initiatives de la politique Internet locale.  Pour cette édition 2009, 224 villes et villages recevront le 15 décembre prochain le label Ville Internet en présence de Nathalie Kosciusko-Morizet, Secrétaire d'Etat chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique.

(Revoir l'interview de Florence Durand-Tornare, publiée en 2007 sur blog-territorial)




villesinternet.jpgLes Présidents des associations nationales de Maires seront aussi de la partie : Jacques Pelissard de l’Association des Maires de France, Michel Destot de l’Association des Maires des Grandes Villes de France, Bruno Bourg-Broc de la Fédération des Maires des Villes Moyennes de France et Vanik Berberian de l’Association des Maires Ruraux de France. Enfin, Philippe Braidy, Directeur du développement territorial et du réseau de la Caisse des Dépôts, répondra  présent pour cet événement. L'association Villes Internet, plus que jamais présente dans le suivi de l'actualité et le réseau des élus, avait retransmis via sa web TV quelques projets du dernier Salon des Maires et des collectivités locales.


lien social, solidarité, interactivité : les villes créatrices d'usages

Au programme, 3 temps forts rythmeront la journée. Les villes présenteront de 15h à 18h leurs projets au public à l'espace exposition. Puis, une table ronde est organisée en présence de la Ministre et des Présidents d'associations nationales de Maires sur un thème transversal : "lien social, solidarité, interactivité : les villes créatrices d'usages". Les élus sont invités à contribuer à ce débat sur le réseau de la manifestation mis en place à cette occasion: http://reseau.villes-internet.net/space/label2009. Acte III de la manifestatation, la remise du palmarès Villes Internet aura lieu à 19h. Autre nouveauté cette année, LTVI retransmettra en direct la 11ème remise des Labels Ville Internet. Ainsi, les élus et les citoyens pourront suivre en live la table ronde et la cérémonie des trophées sur Internet.  

LTVI.jpg

(Revoir la vidéo
du 10ème anniversaire du rendez-vous Villes Internet 2009 :)


 
Partager cet article
Repost0
30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 14:50
Grand chantier pour blog-territorial qui migre de plate-forme pour sa 4ème mouture ! Attention : pendant les " travaux ", le blog n'est accessible qu'à l'adresse blog-territorial.fr !


C'est officiel ! blog-territorial migre de plate-forme et s'oriente vers WordPress pour sa 4ème mouture, qui sortira en janvier. Un changement de taille dont nous vous reparlerons en détail très bientôt car ce blog sera désormais adossé à un réseau social, avec un mode collaboratif considérablement renforcé.

Pendant les travaux, la publication continue mais il est possible que certains liens soient "cassés ": nous vous prions de nous excuser pour cette gêne temporaire, et faisons tout pour rétablir au plus vite la situation.

A très bientôt sur http://www.blog-territorial.fr !
Pensez à mettre à jour vos signets !

Partager cet article
Repost0
16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 18:48
Le Salon des maires et des collectivités locales (SMCL) prend place les 17, 18 et 19 novembre à la Porte de Versailles. Ce rendez-vous annuel organisé par le Groupe Moniteur a pour vocation de réunir une pléiade d'acteurs et d'institutions du secteur public.

 

Au programme de cette édition 2009 : tables rondes avec 8 ateliers techniques qui marqueront l'événement sur le thème des grands enjeux des collectivités locales. Au centre des débats : "Financement des équipements sportifs. Que peuvent apporter les opérateurs privés ?", ou encore avec la question sur "Les TIC et les territoires. Quelle valeur ajoutée pour le développement économique d'un territoire ?"


Le rendez-vous de référence du marché des collectivités locales  


Présidents respectifs de l'Assemblée nationale et du Groupe Moniteur, Bernard Accoyer et Eric Licoys inaugureront la grand-messe de la rencontre des élus et des professionnels de la "commande publique". Le SMCL comporte 7 espaces thématiques. Pas moins de 155 dossiers ont été retenus et répartis dans 8 catégories. Pêle-mêle, on peut citer la "Prévention et Sécurité", l'"Environnement et Energie", ou encore l'"Aménagement urbain". Avec 800 exposants et 150 secteurs d'activités économiques représentés, c'est ce qu'on appelle dans le jargon une grosse opportunité dans la commande publique.

Trois autres temps forts marqueront le salon. Le concours des Prix de l'Innovation du SMCL récompense un ensemble de produits et de techniques qui équiperont les "collectivités de demain". Le Village Territorial se veut un lieu d'échanges entre les fonctionnaires territoriaux et les associations. Enfin, le Village du Sport rassemblera quant à lui les principales fédérations nationales et les associations du monde du sport. A noter que le SMCL a lieu parallèlement avec l'autre événement majeur de la Porte de Versailles, le 92ème
Congrès des maires et des présidents de communauté.
Partager cet article
Repost0
4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 18:40
Le rendez-vous annuel des professionnels de la communication publique se tiendra à Saint-Etienne du 1er au 3 décembre. Crée en 1988 sous l’impulsion de Dominique Mégard, le Forum de Cap’Com c'est une pléiade d’acteurs de tous bords qui se réunit pour échanger, débattre sur la place de la communication publique.



« Changer d’échelle », c'est le nouveau slogan des rencontres du Cap’Com version 2009 qui prendront place dans la ville du design, Saint-Etienne. Au programme : élus, universitaires, consultants, journalistes, communicants des collectivités territoriales invités à plancher sur différentes tables rondes. « A quelle échelle territoriale travailler ? », « les relations presse à l’échelle d’un territoire » ou encore « quelle dimension stratégique la plus appropriée pour les réunions publiques ? » sont quelques-uns des thèmes qui seront abordés dans ce 21ème Forum.

Changer d'échelle, c'est aussi repenser la proximité avec les citoyens, les habitants, les usagers

En effet, les 3 jours s’annoncent sportifs si l’on en croit l’organisation : 8 conférences stratégiques, 5 parcours thématiques, 20 ateliers méthodologiques, 8 carrefours numériques et enfin 5 visites professionnelles. L’exercice précédent à Nantes avait quant à lui réuni pas moins de 900 participants; dans ce rassemblement qui se veut également un temps de réflexion sur les évolutions et pratiques des professionnels de la  communication. Comme chaque année, blog-territorial répond présent et retransmettra en vidéo la manifestation.

Dans ce forum des communicants publics, le patrimoine culturel est aussi à l’honneur. Ainsi, la Cité du design, le Musée d’Art Moderne, le Zénith de Saint-Etienne Métropole, sans oublier le mythique Stade Geoffroy Guichard s'associent à l'opération. Autre nouveauté 2009 : les participants pourront utiliser le système du co-voiturage pour se rendre au Centre de Congrès de Saint-Etienne. C'est dans un contexte de réforme territoriale que Dominique Mégard affirmait en guise d’édito dans le numéro spécial de Cap’Com :«  Changer d’échelle, c’est aussi repenser la proximité avec les citoyens, les habitants, les usagers (…) la communication  réapparaît comme un élément indispensable du projet collectif ». A bon entendeur…

Partager cet article
Repost0
2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 14:58

Par Christophe Baudouin



Mesure phare du plan de relance de Nicolas Sarkozy, la suppression de la taxe professionnelle suscite de nombreuses interrogations parmi les élus. C'est dans un climat tendu avec la majorité présidentielle, que l'Assemblée nationale a remanié, puis adopté le projet gouvernemental le 23 octobre dernier sur la suppression de la TP. Cette dernière fait toujours couler beaucoup d'encre à quelques jours de l'examen du texte par le Sénat. Un ancien Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, cosigne même une tribune contre le projet de loi dans le jdd.



Le Maire de Bordeaux, dans un entretien accordé au quotidien Sud Ouest, sonnait le tocsin des critiques provoquées par la fin de la TP : "Nicolas Sarkozy se fout du monde". Le camp de l'opposition accompagné par des élus de la majorité n'ont pas ménagé leur efforts pour dénoncer la disparition de la principale manne financière (22 milliards d'euros par an) des régions, communes et départements. Ainsi le Président du Sénat, Gérard Larcher, réclamait 6 mois de délai supplémentaire afin d'améliorer le projet de réforme. Aux micros d'Europe 1, Jean-François Copé enfonçait le clou en exigeant davantage de pédagogie de la part du gouvernement, "(...) car pour l'instant, on n'est pas au clair sur qui va payer quoi". Face à ce bras de fer avec les parlementaires, la confirmation est venue du Premier ministre en personne : la fin de la TP interviendra bien le 1er janvier 2010.

Malgré les nombreuses dissensions, cette réforme est jugée nécessaire par les élus. Apporter plus de transparence aux finances locales, mais aussi équilibrer davantage les compétences des régions et départements, sont parmi les points positifs à retenir. Mais les inquiétudes font rage quant à la taxe de remplacement intitulée "contribution économique territoriale" (CET). Cette source de financement inédite, inscrite au projet de loi de financement pour 2010, se décompose en deux impôts. Acte I, la taxe sur le foncier demeure via l'instauration de la cotisation locale d'activité (CLA). Acte II, la cotisation complémentaire (CC) se substitue à l'actuelle cotisation minimale assise sur la valeur ajoutée de l'entreprise.    L'amendement UMP porté par Gilles Carrez, sur la répartition de la cotisation complémentaire et adopté en commission des finances, fait écho à cette volonté unanime dans les rangs politiques de donner plus de garanties quant aux ressources des collectivités.

Le train des réformes continue

Piqûre de rappel : ce qui est visé dans cette réforme sur la fiscalité locale qui, rappelons-le a été créée en 1975 par Jacques Chirac, c'est plus particulièrement l'investissement productif. L'objectif poursuivi par le gouvernement est bien de pérenniser les ressources locales, tout en misant sur la compétitivité des entreprises. En effet, ce plan de refonte de la fiscalité des collectivités territoriales doit bénéficier à l'ensemble des secteurs d'activité. Mais en définitive, ce sont surtout le BTP et l'Industrie qui tirent profit du plafonnement à 3 % de la valeur ajoutée. Ainsi, la CET prend davantage en compte la valeur ajoutée réalisée par les entreprises au dépend des investissements productifs. Dans cette batterie de mesures gouvernementales, à noter que le barême de cotisation complémentaire sera progressif pour ne pas pénaliser les grandes entreprises.

Le Medef se félicite de la suppression de la taxe professionnelle

Après le cadeau offert cet été au secteur de la restauration (de 19,6 % la TVA est passée à 5,5 %, le 1er juillet dernier), Nicolas Sarkozy réduit la charge des impôts directs qui pèsent sur les entreprises. Ainsi, pas moins de 12,7 milliards d'euros d'impôts en moins sont prévus pour 2010. Par la suite, Bercy table sur une baisse de l'ordre de 4,8 milliards d'euros par an. Malgré les généreux allègements de charges, le Medef se félicite de la suppression de la taxe professionnelle, tout en émettant de fortes réserves avec la mise en place future de la nouvelle taxe carbone. C'est dans un contexte de déséquilibre des finances locales que les élus attendent des preuves tangibles de l'Etat dans l'allocation de recettes fiscales viables. Dans ce temps II de la décentralisation, les transferts de compétences des collectivités ne s'accompagnent pas de ressources financières adaptées pour répondre aux défis de la gouvernance locale. 
Partager cet article
Repost0
29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 18:50
Après 20 ans passés à la tête de Communication publique, Pierre Zémor se retire de la présidence. Fondateur de l'association spécialisée dans la communication auprès des acteurs et des institutions publiques, Pierre Zémor s'est vu décerner mercredi 28 octobre le titre de président d'honneur pour l'ensemble de son travail.

Le Conseil d'administration a pris acte de la décision du conseiller d'Etat en élisant à l'unanimité Bernard Emsellen le nouvel exécutif de Communication publique. Directeur général délégué au développement durable et à la communication de la SNCF depuis 2002, Bernard Emsellen  reprend donc les rênes de l'association. Ses collaborateurs le définissent comme un "grand professionnel sans a priori" après l'expérience de Francom. Chercheur statisticien de formation, il se lance au départ dans les études pour la Sema en 1974, avant de rejoindre la Sofres  Communication en  1981. Profil atypique, Bernard Emsellen n'en demeure pas moins doué d'un "talent de stratége" si l'on en croit son travail d'audit réalisé pour le compte de la SNCF. Côté plume, il livre une contribution féconde sur la notion de "capital corporate" en 2001.


Le conseil d'administration de Communication publique a élu à l'unanimité Bernard Emsellen.

Pour les non familiers de Communication publique, l'association organise aussi bien des colloques autour des problématiques de société, que des partenariats avec le Festival européen, ou encore lors des rencontres de Cap'Com. L'association mène également des études sur des thématiques  variées : les attentes des décideurs publics par exemple, ou encore au sujet de la perception par les français des efforts de communication des services publics. Souhaitons bon courage à Bernard Emsellen et à toute l'équipe de Communication publique dont nous restons l'un des fidèles partenaires !

Retrouvez notre interview avec Pierre Zémor à l'occasion de la 20ème édition du Cap'Com de décembre 2008 :


Partager cet article
Repost0
23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 19:26
Pour eux l’aventure commence maintenant… Ils sont huit candidats, mais seulement deux d’entre eux pourront se partager le Trésor de l’Auwwwergne de la Tentation ! Pour cela, ils devront être soit le candidat qui a marqué le plus de point, soit le candidat préféré des internautes.


Ils sont beaux, ils sont jeunes… mais sauront-ils relever le défi ?
En ligne depuis moins de 24h, les fans de l’Auwwwergne de la tentation ont répondu présent pour le lancement de la première émission.
 

Et ce n’est pas fini… Des vidéos du Off de l’émission font leur apparition quotidiennement ! Découvrez dès lors les coulisses du tournage, faites connaissances avec les différents candidats, relevez quelques scoops et indiscrétions… et votez pour votre candidat préféré !

Partagez l’aventure de l’Auwwwergne de la tentation sur http://www.delatentation.com/


Une émission de web-réalité qui s’attaque aux codes de la télé-réalité pour faire découvrir, le temps d’un week-end parsemé d’épreuves loufoques voire ubuesques, les qualités de la région Auvergne, son attractivité, sa créativité et appuyer sur la modernisation de son image.

Un angle de communication toujours décalé, teinté d’autodérision et osé pour une collectivité territoriale.
Partager cet article
Repost0
15 octobre 2009 4 15 /10 /octobre /2009 00:00
Par Luc Bernard


Voici une nouveauté apparue sur la toile qui risque bien de bouleverser le quotidien de nos élus législatifs. Nosdeputes.fr, site né de la collaboration entre les fondateurs de deputesgodillot.info et de regardscitoyens.org, se propose de suivre à la trace les 577 députés de la législature.




Comment ça marche ? 


A l'appui d'une finition simple et claire, ce nouvel observatoire de l'activité  parlementaire propose de visionner le profil de chaque député  et d'y voir le graphique de leurs activités sur les 12 derniers mois. Pour chacun, il est ainsi possible d’examiner le champ lexical utilisé durant les assemblées, le nombre de mots prononcés, mais aussi le taux de présence dans l’hémicycle. Ainsi, ce ne sont pas moins de 300 000 interventions, 30 000 amendements ou encore 60 000 questions écrites qui sont collectés sur l’actuelle législature. Quelques 240 dossiers traités par l’Assemblée nationale sont également disponibles en ligne.

Enfin, tous les internautes peuvent se retrouver dans la rubrique "citoyens" afin d'échanger au sujet des députés ou de la vie de l’Assemblée nationale, ceci entrant dans le cadre de la "démocratie représentative" qu'évoque Tangui Morlier, l'un des membres du collectif.
 
Valoriser ou contrôler?

Ce dernier affirme que l’utilité première de ce site sera de valoriser les travaux des députés. Une façon de mettre en place le site sans heurter la sensibilité des élus ? Rien n’est moins sûr, car le but plus ou moins affiché de cette création n’est autre que de les piquer à vif dans leur quotidien, plus ou moins chargé !

Certes, certains députés vont pouvoir surfer sur la "vague valorisatrice" de nosdeputés.fr, mais il est évident qu’aucun cadeau ne sera fait aux habitués de "l’assemblée buissonnière".


 

Ainsi, il n’a pas fallu attendre pour voir les premières railleries se manifester sur la toile. L’une des personnalités  "stars" de l’hémicycle, Jack Lang, s’est tout simplement fait "dépouiller" de toute crédibilité en quelques secondes, et surtout, en quelques "clics". Difficile de s’imaginer sa capacité à représenter les citoyens si celui-ci ne se présente pas plus de 4 fois aux assemblées en 12 mois. Mais, des dizaines de députés français sont dans un cas tout à fait similaire.


 

Les électeurs français pourront donc suivre à la trace leur représentant, sachant qu'un sondage de l’internaute.com révèle que 97% des français s’estiment lassés par l’attitude absentéiste des députés.

Prendront-ils le soin de tenir compte de ce moyen de pression publique, pour endosser pleinement leur rôle législatif ? 

Les temps s’annoncent durs à l’Assemblée …
Partager cet article
Repost0
2 octobre 2009 5 02 /10 /octobre /2009 15:10

Par Christophe Baudouin


Les jeudi 15 et vendredi 16 octobre prochain venez découvrir gratuitement le 1er salon des métiers du politique. Cet évènement inédit a pour vocation de réunir les professionnels du monde de la politique : élus, directeurs de cabinet, collaborateurs d'élus, chargés de mission, sans oublier les assistants parlementaires...




Savoirs Publics, par l'intermédiaire de son directeur Erwan Huchet, organise ce salon en compagnie d'une pléiade d'acteurs afin de se faire croiser l'expertise politique et l'art du réseau. 
  Le programme se veut riche en émotions et en débats. Pas moins de 12 tables rondes sont organisées autour de thématiques embrassant le champ politque. Ainsi, parmi les quatre conférences plénières le public pourra suivre avec intérêt la problématique sur la réalité, parfois noire, de la place et des statuts réservés à ces personnels politiques.


1000 à 2000 participants sont d'ores et déjà attendus

Des ateliers professionnels traiteront des outils de la communication politique. La question du reclassement des acteurs politiques travaillant dans  les lieux du Parlement  et en circonscription sera elle aussi évoquée. Cette série de tables rondes se poursuit également sous l'angle plus pragmatique de la formation et des compétences requises, dans l'espoir de travailler un jour aux côtés d'un homme ou d'une femme politique. Staffs s'ouvre donc aussi aux étudiants des Masters spécialisés dans les métiers du politique. Ces jeunes apprentis pourront donc apprécier plus particulièrement la conférence animée par l'enseignant-chercheur Guillaume Courty sur ce sujet.


En résumé, on l'aura compris Staffs et ses partenaires offrent du grain à moudre dans la compréhension de ce qu'il est convenu d'appeler les "hommes de l'ombre". En effet, c'est bien le contrat intuitu personae qui prime dans les relations d'emplois avec les élus pour le meilleur et pour le pire.  A ce titre, Erwan Huchet confiait au journal en ligne, le courrier des maires, que l'un des objectifs de ce salon était de rendre "visible les métiers de l'ombre et de fédérer les collaborateurs qui sont au coeur de notre démocratie". Staffs espère donc bien créer un nouveau rendez-vous annuel en compagnie des professionnels et des jeunes politiques en herbe; afin de mettre enfin la lumière sur ces milliers de petites mains au service de l'élu.

Partager cet article
Repost0
30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 19:24

Par Christophe Baudouin


Le syndicat des transports d'île-de-France lance un vaste programme de consultation au sujet des modes de déplacement dans la région. Que vous soyez taxis, usagers des transports en commun, acteurs économiques, cyclistes, élus ou simples automobolistes, vos avis intéressent le Stif et la Région.


Dans le cadre de la révision du nouveau Plan de Développements Urbains d'Ile-de-France, plusieurs opérations de communication qui se dérouleront jusqu'en janvier 2010 appellent à la participation des usagers et bien au-delà. Au centre de ce PDUIF, on retrouve dans les objectifs l'amélioration de l'offre et du réseau de transports, ainsi que son inscription dans les enjeux démographiques et environnementaux.
Le précédent PDUIF élaboré en 2000 misaient sur la rupture du "tout automobile". Mais les résultats contrastés de ce dernier avaient mis en lumière les difficultés dans la participation des différents acteurs à la politiques des transports.

Je me déplace, je m'exprime !

Depuis 2007, le STIF souhaite mettre à l'honneur le principe de consultation. Ainsi, en temps I de l'opération, un questionnaire est mis en ligne sur Internet en direction du grand public afin de recueillir les doléances sur les attentes en termes de mode de déplacement. Cette phase de consultation sur la toile débutée le 7 septembre dernier se puorsuit jusqu'au 15 octobre.  L'organisation d'ateliers et de séminaires privilégieront l'échange et le débat en compagnie de jeunes, habitants du périurbain, automobilistes. De mi-novembre à mi-décembre la période ouvre le temps II de la consultation avec une série de débats en présence des acteurs du monde économique et les représentants des agglomérations, ainsi que des départements. Enfin, le temps III de la consultation laisse place à la réalisation d'un "livret blanc de concertation" faisant la synthèse des différentes contributions apportées lors de la campagne orchestrée par le STIF et ses nombreux partenaires. Pour
conclure l'épisode des tables rondes et des idées collectées depuis septembre, le consei régional prendra la décision du projet à retenir.


Parmi les déplacements inférieurs à 3 km, la moitié est réalisée en voiture

En l'espace de seulement 10 ans, le trafic dans les transports en commun a augmenté de 25 %. Ainsi, un francilien passerait en moyenne 1h30 par jour dans les transports. Piqure de rappel, la question de la mobilité urbaine figure toujours parmi les principales préoccupations des français. Chacun se souvient du coup de gueule de Nicolas Sarkozy aux micros de RTL prenant la défense des "passagers otages" de la ligne A, tout en critiquant la vétusté des installations. 




Nul doute que face au vieillissement du matériel roulant et de la saturation des lignes RER et de métro, les usagers trouvent un intérêt certain à répondre à cette initiative participative. D'autant plus que tout reste à faire pour démocratiser davantage les transports collectifs. Aux vues des chiffres observés, la culture de la voiture semble toujours bien ancrée dans les habitudes de chacun. Par exemple à Paris, ce sont 28 % d'usagers qui optent pour l'automobile. Les chiffres explosent concernant les déplacements en banlieue. Véritable point noir de la politique des transports, pas moins de 87 % des usagers choisissent la voiture pour tous les déplacements en grande couronne.

Les défis politiques du prochain PDUIF...

  Le PDUIF à venir se veut à la fois une réflexion et une politique globale sur la qualité de vie des franciliens. L'accent est mis sur une plus grande place faite  aux handicapés et personnes à mobilité réduite dans les transports. Revaloriser le piéton dans la citié, mais aussi encourager l'intermobilité entre la pratique du vélo et le choix de transports collectifs, s'inscrit pleinement dans le principe mis en avant de "mobilté durable".



De surcroît, les problématiques environnementales prennent tout leur sens dans la construction de ce PDUIF. En effet, à la suite des accords du Grenelle de l'environnement une réduction de 20 % des émissions de gaz à effet de serre est prévue d'ici 2020. A ce titre, impossible de faire abstraction de la dimension sociétale du projet de révision des déplacements à l'échelle régionale. Les franciliens seront-ils en droit de participer de manière collective et viable à une future politique publique de transport digne de ce nom ? Affaire à suivre...

 
Partager cet article
Repost0

Attention, le blog a déménagé!

ATTENTION : vous êtes égarés sur les archives de blog-territorial...
Depuis 2011, le blog a déménagé et a continué sa vie ici :

BT.jpg

Editeur

Directeur de la publication : 
Franck Confino 

Texte Libre

   Inscrivez-vous à la newsletter   Contactez-nous

 

auwwwergne.com
Recommandé par des Influenceurs

C'est forcément ici !

 

 

 

Et pour finir...

 

internautes sont égarés ici et trouveront leur bonheur par là !
 

Avril 2006 - Novembre 2010

 

Contrat Creative Commons

Blog-territorial
by Adverbia est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Paternité - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 3.0 Unported.
Basé(e) sur une oeuvre à www.blog-territorial.fr.